En la imagen, asistentes al primer taller de CBLi3 en Hendaia.

Premier atelier du projet transfrontalier Challenge Based Learning i3, une évolution d'Ocean i3

Nouvelle édition de la collaboration transfrontalière, transdisciplinaire et multilingue, Ocean i3 devient Challenge Based Learning i3.

Le 10 février dernier s’est tenu à Borderline Fabrika au sein de la gare d’Hendaye, le premier atelier de la nouvelle édition du projet transfrontalier CBLi3 (Challenge Based Learning Ikaskuntza/apprentissage ikerketa/recherche iraunkortasuna/développement durable), nouvelle phase du projet Oceani3 (2018-2022) porté par l’université du Pays basque (UPV/EHU) et l’université de Bordeaux (UB) dans laquelle de nouvelles thématiques telles que l'économie circulaire et les énergies renouvelables marines sont venues s’ajouter à celle de la pollution des océans par les plastiques.

CBLi3 est un projet transfrontalier interuniversitaire en innovation éducative répondant aux objectifs de développement durable 2030 de l’ONU. Porté par l’Université de Bordeaux et l’Université du Pays Basque, il se déploie dans le cadre du campus Euskampus Bordeaux.

Il vise à doter des étudiant-e-s de la licence au doctorat, en partenariat avec le corps enseignant-chercheur et les acteurs socio-économiques du territoire (ONG, associations, entreprises et collectivités) de compétences transversales afin de développer leur employabilité, l'auto-entrepreneuriat et l'innovation en lien avec l’économie bleue et l’économie circulaire. Comment? En proposant aux étudiant-e-s de “relever des défis” liés avec les thématiques sus-citées collectivement, en equipes multidisciplinaires, multiagents, interculturelles et transfrontrontalières et “individuellement” via les travaux menés dans de le cadre de leur cursus diplômant (mémoire de licence, de master, de stage, sujet de thèse…).

Le premier atelier des cinq qui composent l'itinéraire CBLi3 a réuni autour de ces thématiques phares, des équipes enseignantes, des étudiant-e-s et des acteurs socio-économiques du territoire Nouvelle Aquitaine-Euskadi ( 55 personnes au total).

Les acteurs socio-économiques impliqués dans le projet (Rivages Pro Tech, 4P Scienseas, Emaús, Ente Vasca de Energía, Mater, Cluster Gaia, Global Action Plan, Parc Naturel Marin du Bassin d’Arcachon…) ont pu partager leur vision et aider à orienter ou affiner les axes de travail associés aux trois défis de cette édition; défis sélectionnés en amont et conjointement entre enseignant-e-s et acteurs socio-économiques formulés comme suit:

 

  • Défi 1 : Facilitons l’accès universel à la consommation durable par la création de communautés circulaires ! 
  • Défi 2: Impliquons-nous pour prévenir et réduire la pollution plastique et ses impacts pour la santé et l’environnement !
  • Défi 3 : Impulsons les énergies renouvelables marines du futur sur le littoral de l’Arc Atlantique !



 

 


 

Cette année, les étudiant-e-s de l’UPV/EHU et de l’UB  de licence, master et doctorat dont les travaux contribueront à répondre à ces défis sont issu-e-s de disciplines et cursus aussi divers que la communication et les relations publiques, les beaux-arts, les soins infirmiers, écotoxicologie, le management des sports de glisse, l’éducation sociale ou la pédagogie.

La diversité linguistique, marqueur identitaire de la communauté formée autour du projet transfrontalier CBLi3 dans lequel coexistent naturellement quatre langues (basque, français, espagnol et anglais), constitue un défi enrichissant pour les participant-e-s. Un engagement continu en faveur de la sensibilisation aux langues qui encourage chacun à s'exprimer dans la langue de son choix avec le soutien, cette année encore, d’étudiant-e-s stagiaires de la faculté de Traduction et d'Interprétation de l’UPV/EHU du campus d'Alava à Vitoria qui accompagnent les différentes équipes dans cette communication multilingue.

A l’occasion de cette rencontre inaugurale, les participant-e-s ont pu faire connaissance et former trois équipes autour des défis sus-cités dont les membres vont maintenant apprendre à collaborer de manière pluridisciplinaire et interculturelle pour contribuer aux défis posés, ce depuis différents axes de recherche.

Un premier plan de travail a été élaboré et les membres de chaque équipe auront pour mission d’avancer ensemble grâce à un outil collaboratif, la plateforme numérique “Euskampus Digital”, avant de se retrouver à nouveau le 10 mars lors du prochain atelier, en ligne cette fois-ci .

Plus d'informations dans Euskampus Digital.

En savoir plus sur Ocean i3.

 

 

 

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